Au Burundi aussi, la Fondation OKALA aide des enfants déshérités à aller à l’école.

Un père au chômage depuis 11 ans, une mère qui se débrouillait au marché central de Bujumbura la capitale du pays en vendant de petits sous-vêtements. Mais frappée par le destin, elle a été emportée par un cancer du sein en août 2023. Laissant derrière elle 6 orphelins, sans ressources, ni soutien. Pour l’accompagner dans ses derniers jours et supporter les frais médicaux, le mari a dû vendre la petite maison familiale. L’aînée de la famille est mariée, mais le couple est sans emploi.

Equation sans solution

Le père a 2 petites filles qui étudient au primaire, 2 autres enfants au secondaire et 2 garçons à l’Université. Sans moyens, et avec la disparition tragique de celle qui faisait tourner le foyer, impossible de les faire scolariser.

Par le canal d’une amie de la famille qui avait entendu parler de la Fondation OKALA, le père de famille a tenté sa chance. Celle-ci lui a souri, les 6 enfants ont repris le chemin de l’école en septembre dernier.

« Nous vivons comme un rêve, c’est inexplicable ».

Très ému par ce soutien de la Fondation, le père a eu ces mots :

« Dévasté physiquement, moralement et financièrement par la disparition de mon épouse, voilà que la fondation OKALA vient à la rescousse de mes enfants en leur payant les frais scolaires pour cette année 2023-2024. Mes sincères remerciements à la fondation, je vous souhaite une réussite dans tous vos programmes. Sans cette aide, les enfants étaient acculés à abandonner l’école parce que j’étais incapable de leur payer le minerval. »

« L’amie » de la famille par qui le sourire est arrivé a eu ces quelques mots également :

« On connaît la valeur d’une action quand elle sauve une situation sans issue. cette fondation OKALA, quoi naissante, a fait une grande chose sous mes yeux. MERCI pour avoir assisté les enfants de ma meilleure amie, juste décédée d’un cancer du sein. Ayant connu Monsieur OKALA dans le cadre de mon travail à Bujumbura, en 2014-2015, nous avons gardé contact par lequel il a appris la mort et la désolation dans la famille de mon amie.  Merci d’avoir payé la scolarité annuelle de ses enfants pour poursuivre leurs études. Merci à la Fondation, merci à Monsieur Okala pour son cœur pour les gens dans les besoins. Joséphine. »